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La extrême nuit s’abattit comme un banne épais. La amphithéâtre ne ressemblait plus à bien rien de ce qu’elle avait persisté. Les murs avaient crevé, remplacés par un vide sinistre piqueté d’étoiles immobiles. Les fauteuils, désormais dispersés dans cet périmètre suspendu, flottaient au-dessus d’un sol absent. Le temps semblait encore avoir ralenti, étiré comme une respiration retenue. Autour des contemporain survivants, aucune sorte de point n’était laissé. Aucun ballon, aucune date, aucune consigne. L’épreuve finale se tenait là, dans ce néant éclairé par une connaissance indécelable. Chacun des médiums devait faire mine à lui-même, sans dispositif, sans support, sans marque identitaire. Leurs pratiques mises à bien nu, leurs voyances ne pourraient plus s’appuyer sur les artefacts. Ce n’était plus un composition de méthode, mais une photocopie de lien véritable avec l’invisible. Ceux issus de inconvénients voyance avec CB la voyance avec CB, dans les temps anciens confiants, vacillaient. Privés de leurs instruments, de leurs repères agréé, de leurs règles marchands, ils tentaient de convoquer des forces qu’ils ne comprenaient plus. Leurs prophéties, autrefois vendues à l’unité, se dissipaient sans forme, comme par exemple si leur apprendre n’avait jamais subsisté enraciné. Ils flottaient dans l’indéfini, aspirés par le vide sans solidité. Les docteurs de la voyance sans cb, par rapport à eux, restaient immobiles. Leur nous guider ne dépendait d’aucun dispositif, leur pics n’exigeait nul décor. Ils portaient leur propension en vacarme, sans garantie, sans transaction. Ils acceptaient l’absence de réponse, la lenteur de l’apparition. Là résidait la puissance : dans l’attente patiente, dans le méfiance, dans le vide assumé. Un à un, les fauteuils se vidèrent, absorbés par le néant. À la délicat, ils ne furent plus que trois. Le vide se referma mollement, donnant être découvert à frais le cercle en pierre, le sol traditionnel, les caractères. Le tournoi était terminé. Mais nul d’eux ne réclama la bonheur.
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